samedi 14 décembre 2019

C'était en juillet : le festival d'Avignon


Du 17 au 22 juillet, 15 lycéens ont eu la chance de découvrir la ville d’Avignon dédiée entièrement aux spectacles, 1400 au total.

Les affiches couvrent les murs de la ville. Le choix est difficile. Nous nous laissons séduire par les artistes qui nous accostent aimablement dans les rues. L’ambiance est théâtrale et festive. 



Deux catégories de spectacles sont proposées :
- les « in » : spectacles à gros budget achetés par le festival .
- les « off » dont les troupes paient un droit de représentation dans le but d’être repérées par les programmateurs de spectacles .

Nos spectacles in :
- la maison de thé (pièce chinoise) adaptée par Meng Jinghui (à droite sur la photo) qui nous a fait l’honneur de nous retrouver sur notre lieu d’accueil pour 1h30 d’échanges.
 

- outwitting the devil dans la cour d’honneur du Palis des Papes : danse chorégraphiée par Akram Khan
 


Et parmi les spectacles off :
- La théorie de l’enchantement.
- Pierre de patience.
- Dictateur mais pas trop
- Green box (théâtre d’objets)
- Zoro zora (musique)

Article rédigé par Mme Duvette, professeur de mathématiques qui a organisé ce voyage
 


lundi 2 décembre 2019

Le lycée des Flandres au décollage ! Suite des aventures...


Le projet avance. Les élèves se sont répartis en groupe et travaillent sur 4 thèmes différents :

La poussée dArchimède existe-t-elle encore en impesanteur ?

Mathilde et Madeleine montent une expérience qui permet de mettre en évidence l’existence de la poussée d’Archimède sur un objet. Après de nombreux essais, elles ont décidé de mesurer la poussée d’Archimède que l’eau exerce sur une balle de ping pong par l’intermédiaire d’un ressort.
Après avoir sélectionné le ressort par la détermination des constantes de raideur, elles réalisent actuellement l’expérience et les essais en vol depuis le troisième étage !!

·         Est-ce qu’un champ électrostatique est suffisant pour accélérer une bille en impesanteur ?

  Adrien et Anaïs travaillent depuis le début de l’année sur la conception d’un système qui pourrait accélérer une bille avec un champ électrostatique.  Les expériences qu’ils ont réalisées leur ont permis d’imaginer un système qui parvient à accélérer une bille en polystyrène sur un plan horizontal par l’intermédiaire d’une tapette à mouches électrique. Ils souhaitent vérifier si leur système fonctionne à la verticale en impesanteur et s’ils pourront déterminer la valeur du champ qu’ils ont créé. Actuellement, ils travaillent sur l’intégration des circuits des tapettes électriques dans le système et produisent par impression 3D des tubes et des billes à accélérer.

      Est-ce que le champ magnétique créé par des aimants est suffisant pour maintenir un occupant de la station internationale au sol ?

Jules et Melvin mettent au point une expérience qui consiste à produire des semelles pour les occupants de la station internationale. Pour cela, ils ont mesuré les forces d’arrachement des aimants en néodyme et imaginé un système permettant de les fixer sur des semelles. Ils travaillent actuellement à sa mise en place dans l’avion à 0g en respectant le cahier des charges de la société Novespace.

·         Comment évolue la trajectoire des projectiles en l’absence de poids ?

  Théophile, Thibaut et Louis, très occupés par de nombreux autres projets, ont commencé à réfléchir à cette problématique. Les résultats ne devraient plus trainer !



Ils attendent avec impatience la venue de Mme Gaudel, représentante du CNES (Centre nationale d’étude spatiale), le 9 décembre au lycée pour lui présenter la totalité de leurs travaux.

Article rédigé par M.Dumont, professeur de physique